Une cloche…Qui cloche !

L’état de santé de notre cloche est préoccupant, son battant chancelle…

Marie-Josephe, notre cloche est malade...

 

Une cloche…qui cloche.

L’état de santé de notre cloche est préoccupant, son battant chancelle…

Ne soyez pas étonnés si lors des prochains cultes dans notre vénérable temple, vous ne vous faites pas sonner les cloches. La nôtre a besoin de repos, car quelque chose cloche…Pour tout dire, elle est un peu sonnée. Elle a décidé de lever le pied. Ou plutôt de suspendre le battant. Après des années sans faire de faux « bong », une petite rénovation s’impose avant qu’elle ne sonne son propre glas. Ou pour le moins dans un premier temps une expertise par un cabinet spécialisé (ou deux pour ne pas avoir qu’un son de cloche) pour voir ce qui cloche et garantir la sécurité de tous (et d’elle en premier lieu). Et si nécessaire, peut-être faudra-t-il faire du neuf avec du vieux et rénover cette cloche emblématique de notre paroisse. Car d’après les premières investigations, il semblerait que son cerveau soit fissuré (cela ne s’invente pas). La cloche n’est donc pas si bête que ca.

Pour rappel, la cloche a été coulée en 1867 par le fondeur Baudoin de Marseille. Son nom, le saviez-vous ? Marie Josephe ! Elle présente un diamètre de 600 mm pour un poids estimé de 120 kilogrammes. C’est donc une pièce remarquable, une vraie grâce pour la paroisse. Elle est unique, et à n’en pas douter, la seule cloche de notre paroisse !…

Bref, en attendant les premiers résultats, il a été décidé par les membres du CP qui ne sont pas si cloches que ça, de ne plus sonner la cloche à la volée, par mesure de sécurité.

Mais n’en doutons pas, le retour de la cloche sera retentissant et nous vous tiendrons bien évidemment au courant de ce qui cloche et des éventuelles réparations à suivre…

Et pour finir sur une note biblique :

Zacharie 14:20 – « En ce jour-là, il sera écrit sur les clochettes des chevaux : Sainteté à l’Éternel ! Et les chaudières dans la maison de l’Éternel seront comme les coupes devant l’autel. »

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